Prémisses
Comme j’aime ce moment où ta mouille
Remplace ma salive
A lubrifier ta chatte
Qui se fait cajoleuse
Ce moment oú mes deux doigts avides
Glissent sur ta fente sans effort
Et tutoient tes muqueuses brûlantes
De ton clitoris à l'entrée de ton vagin.
Ce moment encore où j'écarte tes chairs
Pour aventurer plus avant
Cette caresse en crochet
Qui fouille tendrement tes textures intimes
Ce moment enfin où ta gorge serrée
Laisse surgir, venu de si profond
Ce râle d’aise, si discret, si tenu
Et qui récompense mille fois ton amant
Comme j’aime ce moment de prémisses amoureux
Qui invitent nos corps à plus d’intimités
En danses langoureuses que nous improvisons
A nous dire combien nous nous appartenons.
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